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La prépa au concours de médecine est une étape essentielle pour s’assurer une place en deuxième année. Comment se déroule-t-elle ? Que faut-il faire et qu’est-ce qui attend dès la deuxième année ?

La difficulté des études de médecine

Si la médecine suscite de très nombreuses vocations, il ne faut cependant pas oublier qu’elle implique des études longues et difficiles. Travail personnel intensif, stages exigeants, elles demandent de nombreux sacrifices. Les sélections sont également drastiques. Après le bac S, l’étudiant doit passer une première année PACES très difficile avec au programme : 8 UE d’une complexité élevée, notamment la biomathématique, la biostatistique, la biophysique, etc.

Après, il faudra passer un concours dont l’adhésion est limitée par un arrêté ministériel nommé « numerus clausus ». En cas de réussite, il faudra poursuivre au moins 6 ans d’études. À l’issu de la 5e année, il faudra repasser un autre concours afin de participer à un nouveau périple qui dure 4 ans.

Les critères de sélection pour une prépa

L’adhésion à une cour préparatoire PACES s’effectue sans aucune forme de présélection pour la simple raison qu’en médecine, il n’y a pas de profil type d’étudiant. En France, l’élève doit uniquement remplir un prérequis administratif, notamment l’admission au bac général, technologique ou professionnel. Un DAEU est également accepté. Donc, on l’aura compris, presque « n’importe qui » peut s’inscrire en PACES.

Malgré cela, il faut garder en tête que certains élèves n’auront que très peu de chances de réussir leur première année. D’après les statistiques 50 % des participants qui ont réussi au PACES avaient un bac avec une mention très bien, 15 % ont eu la mention bien et 5 % assez bien. Par ailleurs, il faut noter que l’on ne peut faire cette première année que 2 fois dans sa vie. Ainsi, les élèves doublant jouent leur carrière dans le domaine de la santé et en cas d’échec. Un échec peut leur faire perdre tout espoir de travailler auprès d’un CHU, d’un cabinet dentaire, d’une parapharmacie comme Pharmasimple ou Doctipharma, etc.

Prépa CPCM

Bien que le PACES soit libre d’accès à tous, l’avenir d’un postulant au concours en deuxième année est tracé d’avance. Dans une logique mathématique, la chance de réussite d’un élève dépend de sa faculté intellectuelle : sa moyenne en bac ; de sa capacité à appréhender les cours au PACES (organisation personnelle) et du cours préparatoire. Si les deux premières dépendent entièrement de la personnalité de chacun, la dernière est le seul facteur contrôlable. En France, des organismes œuvrent à accroître la chance de réussite aux examens des étudiants en leur proposant un cours préparatoire drastique et innovant. Le CPCM en est un.

Conçue par des scientifiques et chercheurs français, la CPCM permet aux élèves d’anticiper la difficulté du concours à l’aide d’entraînements intensifs dans les conditions réelles d’examen. Elle s’équipe aussi d’un corps professoral formé par les meilleurs professeurs du PACES et pour se faire accepter dans le milieu Juvénal, utilise des supports pédagogiques dans l’air du temps. Elle dote également les élèves d’outils numériques afin qu’ils puissent intensifier leur entraînement et optimiser leur temps. CPCM présente également comme avantage la proximité, étant présente dans tous les lieux d’implantation des facultés.